L’aube s’étendait lentement sur Venise, projetant une vie pâle par les lourds rideaux de velours. Dans la chambre silencieuse, le reflet semblait absorber toute la clarté, comme un puits sans fond. La noble vénitienne restait figée devant la surface lisse du verre, son regard verrouillé sur la silhouette indistincte qui https://marcopbjqv.elbloglibre.com/33836904/le-rayonnage-des-ombrages