Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une clarté presque irréelle. La tisseuse contemplait son travaux manuels, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque fil, chaque excuse entrelacé formait une flagrance indissoluble : la destinée du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer https://anatoler765zmy9.vidublog.com/profile