Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence humaine, ne réagissaient plus à bien zéro action cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, tels que paralysées par une acception indécelable. La gardienne du sanctuaire observait sans agir, volontaire que tout dérèglement https://daltonyhouy.post-blogs.com/54931676/le-barrière-translucide