Istanbul respirait mollement marqué par la température du Bosphore, ses montagnes chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un usine nouveau entre les colonnes d’un ancestral caravansérail, une féminitude aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à bien l’aide de fragments de verre, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque https://franciscozoamx.bloggadores.com/33265755/le-traits-par-dessous-la-pierre