Florence s’éveillait marqué par un ciel voilé de cendres. Le Grand Bûcher, consumé parallèlement la nuit, laissait postérieur lui une vie recouverte d’un manteau de suie. L’odeur persistante du papier brûlé flottait toujours l’air, pensant aux habitants la filtration imposée par l’Inquisition. Mais au-delà des cendres, une rumeur se propageait https://augustfpvzf.canariblogs.com/l-embrasement-de-l-avenir-48961554